Cette semaine, nous allons aborder ce que la mémoire de nos
produits high-tech risque de devenir dans quelques temps. Sans aborder de
chiffres, nous allons tenter d’éclaircir quelques flous sur ce futur
prometteur.
Ces dernières années, les progrès technologiques ne cessent
pas. Tout ordinateur ou appareil mobile requière un stockage plus ou moins
conséquent de donnée. Ces informations ne font que se multiplier alors que le
domaine de l’informatique se démocratise de jour en jour. Il est donc
nécessaire de trouver un moyen d’augmenter la capacité actuel des mémoires de
stockage.
De nouvelles technologies sont en phase d’élaboration, et
promettent une rapidité équivalente à la mémoire vive des ordinateurs
d’aujourd’hui, mais avec la faculté de sauvegarder les données même sans
alimentation tel que les disques durs ou les SSD. Toutefois, le jour où nous
les verrons dans nos foyers n’est pas encore arrivé car la date estimée pour la
commercialisation au grand publique de cette nouvelle génération n’est pas
avant 3 à 5 ans (ReRAM, pour plus d’information).
Pour ceux qui préfèreraient des nouveautés à court terme, ne
désespéraient pas. Les smartphones et tablettes du genre seront touchés plus
rapidement par ce changement de mémoire puisque les puces de stockage actuelles
eMMC (Embedded MultiMediaCard) sont en marche pour être
remplacées. En effet, la production des PCM (Phase-Change memory) a déjà
commencé. Ils assureront de meilleures performances et efficacités, tout en ayant
un impact énergétique réduit.
L'évolution des matériels de stockage |
Dans un futur proche, le développement de la NVRam (Non-volatile random-access memory) semble prendre le dessus sur la mémoire flash type NAND. Cette dernière n’est pas autant prometteuse que nous l’espérions, il y a de cela, quelques années encore. L’informatique de demain ne sera pas sans surprise…
Sources :